Monsanto à la une

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C’est reparti pour un tour. En ce début d’année, Arte donne le ton de la mobilisation environnementaliste en rediffusant ce soir « Le Monde selon Monsanto« , documentaire de Marie-Monique Robin. Tiré du livre éponyme publié en mars 2008 et préfacé par Nicolas Hulot, ce documentaire avait déjà été diffusé sur Arte à la même période pour appuyer les ventes en librairie.

Surfant sur une vague conspirationniste, Marie-Monique Robin se retrouve donc au coeur de l’actualité du PAF. Il faut dire que les rediffusions de films verts ne manquent pas, à l’image de Home, de Yann Arthus-Bertrand diffusé sur France 2 en juin dernier (à la veille des élections européennes) et rediffusé sur la même chaîne en décembre dernier à la veille cette fois du sommet de Copenhague.

Directeur de Recherches au CNRS en physiologie végétale, Marcel Kuntz propose sur son excellent blog une analyse du documentaire de Marie-Monique Robin.

151 commentaires sur “Monsanto à la une

  1. Bouffon Laurent Berthod vous ne maitrisez rien et vous vous contentez d’apprendre beaucoup de gens qui sont des incultes notoires

    ==> Et vous d’où tenez vous la prodigieuse connaissance que vous prétendez avoir du dossier toxicologique du glyphosate?

  2. Laurent Berthod vous dites que le documentaire de Marie-Monique Robin est un mensonge éhonté mais vous n’apportez aucune preuve.

    ==> Moi, je dis ‘et je ne suis pas le seul) que le torche-cul auquel vous vous référez est une falsification éhontée de la vérité parce que je connais le dossier de l’intérieur pour l’avoir étudié, pour des raions professionnelles, pendant des années au niveau français et européen. Je précise avant de me faire insulter comme c’est la coutume que je n’ai jamais été salarié ni actionnaire de Monsanto.

  3. Aline, si MMR t’as bluffée, je te conseille la lecture de certains intervenants sur son site hébergé par ARTE, tu pourras te faire une opinion sur la dame et ses méthodes d’investigations, son travail de recherche que ce soit sur Monsanto ou sur les ogm est très partial, mais c’est aussi ce que demande son public…

  4. On voit bien comment l’agro chimie gagne de l’argent en faisant crever la planète

    ++> La FAO a estimé que malgré l’utilisation des produits phytosanitaires, environ 30% des récoltes mondiales sont détruites par les insectes, les adventices, les champignons, les rongeurs, les oiseaux. Une partie ( de moins en moins importantes depuis 5 ou 6 décennies) de l’humanité ne mange toujours pas à sa fin (le plus souvent non pas enraison de carence de l’agriculture mais en raison de politiques nationales telles que rebellions, guerres civiles, détournements etc…). Imaginez – vous un peu ce que seraient ces famines si les récoltes n’étaient pas protégées….. Alors renseignez-vous et réfléchissez un peu avant de vous laisser enfumer……

  5. Bouffon zygomar vous avez oublié de lire ceci dans mon post 41:
    Or, plusieurs études scientifiques, contestées par Monsanto, ont prouvé que le Roundup est nocif pour la santé humaine. Il est d’ailleurs classé dangereux pour l’environnement par les autorités européennes depuis 2001.

    Bouffon zygomar est-ce que vous contestez les conclusions des autorités européennes qui vous contredisent?

    Vous dites aussi « le glyphosate a été soumis a un très grand nombre de tests… » et vous ne citer aucune référence scientifique indépendante.
    Vous vous contentez de gober religieusement les études tronquées de Monsanto, qui je vous le rappelle a été condamné pour tromperie.

  6. Bonjour rageous, je suis toujours pas convaincue du bien fondé des quelques critiques acerbes sur le travail de Marie-Monique Robin. Cela ne représente que faible minorité. Le monde scientifique dans son ensemble ne critique pas négativement ce documentaire.

  7. « Or, il est prouvé (Ifen) que le glyphosate a des effets toxiques notamment sur la photosynthèse des algues et sur la faune aquatique.

    ==> Sur les algues vertes, çà n’est pas étonnant puisque précisément c’est le mécanisme d’action herbicide (pour simplifier: inhibition de la synthèse de la chlorophylle) du glyphosate. »

    Et ben, ça y est, on l’a la solution aux marées vertes en Bretagne ! Épandre du glyphosate dans les baies bretonnes va faire gagner de l’argent à Monsanto et à tous ces concurrents, puisque la molécule est maintenant dans le domaine public. Ah ! Ah ! Ah ! Les crétins militants incultes se polarisent tous sur Monsanto, mais il n’y a vraiment pas que lui sur le marché à commercialiser cette molécule !

  8. Tous les scientifiques sérieux reconnaissent l’intérêt du glyphosate et sa faible toxicité, sinon il ne serait pas autorisé.

    Il n’y a que des pitres du genre Belpomme et Séralini pour affirmer le contraire.

  9. Or, plusieurs études scientifiques, contestées par Monsanto, ont prouvé que le Roundup est nocif pour la santé humaine.

    ==> Vous faites certainement référence aux études du bouffon séralini et à celle de Bellé qui ont été unanimement contestées non pas par Monsanto mais bel et bien par la communauté internationale des toxicologues!! Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez que par ouï-dire. Vous aurez moins l’air ridicule.

    « Il est d’ailleurs classé dangereux pour l’environnement par les autorités européennes depuis 2001. »

    ==> Oui, je sais! Et je sais même pourquoi. Parce réglementairement un produit qui est toxicque pour les algues vertes dans les tests standards de laboratoire sont automatiquement classé « dangereux pour l’environnement » et j’ai dit plus haut pourquoi il était toxique pour les algues vertes.

    Bouffon zygomar est-ce que vous contestez les conclusions des autorités européennes qui vous contredisent?

    ==> Pas du tout! Je n’ai parce que ce ne sont pas les autorités qui s’acharnent contre le glyphosate puisqu’elles ont toutes renouvelé l’autorisation de vente après examen serré du dossier initial et des très nombreux complément d’information produits. Ceux qui s’acharnent en utilisant des études mal ficelées quand ce ne sont pas des conclusions tirées par les cheveux à partir de protocoles inadéquates.

    Vous dites aussi “le glyphosate a été soumis a un très grand nombre de tests…” et vous ne citer aucune référence scientifique indépendante.

    ==> Vous trouverez là-dedans l’épluchage de la totalité des études faites pour obtenir le renouvellement de l’autorisation de mise sur le marché. Ce papier est basé sur 115 références bibliographiques.

    Vous vous contentez de gober religieusement les études tronquées de Monsanto, qui je vous le rappelle a été condamné pour tromperie.

    ==>> Je ne « gobe » strictement rien. Mon métier m’a appris à ne me fier qu’à ce que je pouvais voir et vérifier moi-même. En outre, j’ai pour principe de ne parler que de ce que je connais bien. Quand je ne connais pas ou que je ne comprends pas, ou bien je m’écrase ou bien je me renseigne en posant des questions ou en allant chercher de la doc…. Tout le monde ne le fait pas mais çà ne les empêche pas de pérorer quand même.

    Quant au qualificatif de « bouffon », laissez tomber. Vous avez fait votre effet maintenant vous commencez à lasser. Les plaisanteries les plus courtes sont toujours les moins longues…..

  10. Le monde scientifique dans son ensemble ne critique pas négativement ce documentaire.

    La raison en est que le monde scientifique qui se respecte n’aime pas trop patauger dans la merde.

  11. Désolé, j’ai oublié de joindre la référence annoncée:

    Revue / Journal Title

    Environnement risques & santé 2003, vol. 2, no6, pp. 323-334

    Glyphosate : toxicologie et évaluation du risque pour l’homme
    Glyphosate: Toxicology and human risk assessment

    PELFRENE Alain
    Résumé / Abstract

    Herbicide systémique non spécifique très largement utilisé dans le monde, le glyphosate a fait l’objet de nombreuses études toxicologiques expérimentales qui ont permis à toutes les autorités compétentes nationales et internationales d’évaluer les risques potentiels que son utilisation pourrait entraîner pour les utilisateurs professionnels et amateurs ainsi que pour les consommateurs. Ces évaluations approfondies ont permis d’établir que le glyphosate avait une toxicité très faible pour les mammifères et que de très larges marges de sécurité existaient pour tous les usages envisagés. Le dossier complet, comprenant non seulement les études scientifiques publiées dans la littérature mais également les rapports confidentiels des études réglementaires réalisées par la société fabriquant le produit, est présenté. Ce sont ces données qui ont servi de base à l’évaluation des risques potentiels et à l’établissement des marges de sécurité selon les modèles standardisés utilisés par les autorités qui délivrent les autorisations de mise sur le marché des produits phytosanitaires

  12. Post 49

    « Les interventions d’Agribio sont nettement plus convaincantes que les votres ».

    Elles ne convainquent que les convaincus. Agribio est un inculte doublé d’un imbécile.

    “Raisonnement” façon Agribio :

    L’agriculture existe. Il y a des morts de faim. Donc l’agriculture est responsable des morts de faim. Donc il faut interdire l’agriculture.

    Remplacez le mot « agricuture » par le mot « pesticides » est vous avez textuellement les conneries allongées régulièrement par Agribio.

  13. Bouffon zygomar, « Environnement risques & santé 2003, vol. 2, no6, pp. 323-334 » n’est pas une référence scientifique.
    Vous avez copier coller naivement un article de presse qui ne prouve rien. Décidemment vous faites très fort dans l’approximatif!!!
    Et vous voulez convaincre avec de telles méthodes, soyez sérieux et arretez de gober n’importe quoi.

  14. J’ai hésité à entrer dans le débat car je ne suis pas spécialiste.
    J’avoue que j’ai eu froid dans le dos lorsque j’ai vu les méthodes de Monsanto et les effets négatifs de ses produits dans le documentaire de Marie-Monique Robin.
    Quand je pense à tous ces pauvres gens qui voient leur vie ruinée par l’usage de tous ces pesticides ou ogm je suis révoltée.
    J’ai 3 enfants et je ne tiens pas à ce qu’ils deviennent des cobayes de la chimie. Avec mon mari nous avons décidé de manger le plus possible bio pour éviter des ennuis de santé irréversibles causés par tous ces pesticides dangereux.

  15. Bouffon Laurent Berthod patauge constamment dans la merde et ne sait pas comment s’en sortir.C’est hilarant!!!

  16. VS12 65 Bouffon zygomar, “Environnement risques & santé 2003, vol. 2, no6, pp. 323-334″ n’est pas une référence scientifique.
    Vous avez copier coller naivement un article de presse qui ne prouve rien. Décidemment vous faites très fort dans l’approximatif!!!
    Et vous voulez convaincre avec de telles méthodes, soyez sérieux et arretez de gober n’importe quoi.

    Mais vous êtes vrai un con inculte doublé d’un malhonnête mon vieux!! Ce n’est pas « un article de presse », cet article est paru dans un journal scientifique (un des rares subsistant paraissant encore en français). renseignez-vous au lieu de dire des conneries énormes démontrant si c’était encore nécessaire votre ignorance crasse! Etes-vous seulement allé voir (je ne dis pas lire, çà vous passerait trop haut au-dessus de votre petite tête de piaf prétentieux)?

    Comme je l’ai dit et comme le précise le résumé (que j’ai copié) établi par le centre de référencement du CNRS , cet article est une analyse de la quasi totalité des études toxicologiques effectuées sur le glyphosate. Ce n’est en aucun cas un « article de presse » mais un article scientifique publié dans une revue scientifique et référencé comme tel par le CNRS (à moins que les documentalistes du CNRS soient selon votre définition aussi des bouffons).

    Allez lire cet article et revenez nous avec vos commentaires au lieu de lâcher des insultes inutilement.

    Manifestement la hargne, l’insulte et la grossièreté vous tiennent lieu de culture.

    Pour votre information pour commencer à vous créer un embryon de culture (ce que vous auriez dû commencer par faire avant d’éructer votre fiel):

    Résumé dans :

    Cat.inist, c’est l’accès à 15 millions de références bibliographiques (depuis 1973) issues des collections du fonds documentaire de l’INIST/CNRS et couvrant l’ensemble des champs de la recherche mondiale en science, technologie, médecine, sciences humaines et sociales.

    Revue scientifique:

    ENVIRONNEMENT RISQUES ET SANTE

    TOUTE L’ACTUALITÉ SUR LES PRÉOCCUPATIONS DE SANTÉ ENVIRONNEMENTALE, DE LA DÉTECTION DES RISQUES SANITAIRES À L’ANALYSE DE LA LÉGISLATION ET DES NORMES. ET 7 ANNÉES D’ARCHIVES EN LIGNE.
    Description
    * La première revue francophone en santé environnementale offrant des mises au point scientifiques sur tous les risques sanitaires et environnementaux, dans le respect des normes internationales de publication scientifique.
    * Des publications originales.
    * Des synthèses sur l’état de la recherche internationale.
    * Des débats scientifiques.
    * 7 années d’archives en ligne. Organe officiel de la Société Française de Santé et Environnement (SFSE).

  17. J’avoue que j’ai eu froid dans le dos lorsque j’ai vu les méthodes de Monsanto et les effets négatifs de ses produits dans le documentaire de Marie-Monique Robin.
    Quand je pense à tous ces pauvres gens qui voient leur vie ruinée par l’usage de tous ces pesticides ou ogm je suis révoltée.
    J’ai 3 enfants et je ne tiens pas à ce qu’ils deviennent des cobayes de la chimie. Avec mon mari nous avons décidé de manger le plus possible bio pour éviter des ennuis de santé irréversibles causés par tous ces pesticides dangereux.

    Faut vous remettre ma petite dame!! Si vous commencez à vous en remettre à la pseudo journaleuse en question, qui s’est trouvé un fonds de commerce dans le vent, pour vous informer correctement, vous allez vous ruiner la vie plus surement qu’avec les résidus de pesticides dans l’alimentation, même « bio », parce qu’il y en a aussi des résidus de pesticides dans le « bio » mais on ne le chante pas sur les toits parce que ce n’est pas dans le vent et pas politiquement correct. Dès que vous dites- çà vous êtes ipso facto traité de fascite et d’empoisonneur vendu à Monsanto (on se dmande d’ailleurs pourquoi seulement à Monsanto parce des producteurs de pesticides et d’OGM, il y en a d’autres…).
    C’est le fonds de commerce des escrologistes de faire peur à des braves gens comme vous pour faire passer leurs idéologie.

  18. VS12 67 Bouffon Laurent Berthod patauge constamment dans la merde et ne sait pas comment s’en sortir.C’est hilarant!!!

    Mais c’est qu’il essaierait d’être drôle (et surtout original avec les idées des autres) le beauf!!!

  19. J’ai à peu près le meme ressenti que sophie-G. J’ai beaucoup d’inquiétudes concernant la santé humaine avec tous ces produits phyto qui sont finalement reconnus toxiques.
    Mes collègues de bureau, déjà convaincus, m’incitent régulièrement à manger bio. J’hésitais jusqu’à maintenant mais je crois que je vais m’y mettre.
    La santé est un bien précieux qu’il faut conserver précieusement.

  20. Vu que c’est en France qu’on épand le plus de pesticides, si les conneries des écolos et les mensonges de MMR étaient vrais on devrait tous être morts, ou en tout cas avoir une espérance de vie plus faible que dans les autres pays. On a un espérance de vie parmi les trois ou qutre plus élevées dans le monde !

    « La santé est un bien précieux qu’il faut conserver précieusement ». Ben oui, comme le pucelage des filles. Mettez le bien au frigo !

  21. @aline
    Je crois surtout que vous êtes victime des marchands de peur. Essayez de prendre un peu de recul. Je ne pense pas que ce soit facile avec la pression de vos collègues de bureau. Mais les faits sont têtus: nous vivons plus longtemps en France que dans la plupart des pays au monde, par contre,ce n’est pas la représentation que nous en avons, preuve en est que nous consommons également beaucoup d’antidépresseurs. Quant au bio, on est plus sur une croyance: si vous pensez que cela vous fait du bien, pourquoi pas, mais ce n’est pas rationnel.

  22. « Mes collègues de bureau, déjà convaincus, m’incitent régulièrement à manger bio. J’hésitais jusqu’à maintenant mais je crois que je vais m’y mettre. La santé est un bien précieux qu’il faut conserver précieusement. »

    Pierre Fournier, un des fondateurs de l’écologisme en France dans les années soixante-dix, mangeait exclusivement bio. Il est mort d’un cancer à l’âge de 35 ans.

  23. « Mes collègues de bureau, déjà convaincus, m’incitent régulièrement à manger bio. J’hésitais jusqu’à maintenant mais je crois que je vais m’y mettre ».

    Si ça vous fait plaisir, comme dit Douar, allez-y, mais les vrais escrocs c’est les marchands de bio. Ils exploitent la peur et l’ignorance pour vendre très cher leurs produits qui ne sont pas moins dangereux que les autres et même sans doute plus.

  24. @ Aline,Sophie G

    Excusez moi par avance,ou bien vous êtes dans l’ignorance,un peu perdues dans le choix de votre alimentation ou bien vous êtes tout simplement écolo-bio-antiphyto et dans ce cas il sera impossible de discuter.
    Dans le premier cas,avant de dire par exemple,pour Aline, »les interventions d’Agribio sont nettement plus convaicantes que les votres » en parlant de Laurent Berthod,il serait intelligent de lire les autres post,que vous ne citez pas,tel que les deux miens 28 et 39,qui sont clairs,nets et précis.
    Pour la ennième fois,je vous propose de lire le lien suivant(que d’ailleurs vous auriez pu lire sur ce forum)

    http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=15531

    Pour le glyphosate,il faudrait dire avant de crier au loup,que ce produit est pratiquement le seul employé par la SNCF,DDE et les particuliers pour desherber leur terrain,contrairement aux agriculteurs qui ont une palette plus large de desherbants,de plus vue qu’il n’y a pas de maïs et soja OGM,desherbés avec ce produit et cultivé en France,les résidus et métabolites de ce glyphosate sont issus de tout le monde.

    Si le glyphosate est supprimé un de ces jours,ce ne seront pas les agris francais les plus embêtés mais les autres utilisateurs!!!!

  25. suite du post 77

    Pour le glyphosate,dont des résidus sont parfois et essentiellement retrouvés dans les eaux de surface,je suis près à parier ,que si les pouvoirs publics avaient l’intelligence de l’interdire à l’usage des particuliers,DDE et SNCF avant de l’interdire aux agris,les écolos et associés n’en parleraient plus,puisqu’il n’y aurait plus aucunes traces de ce produits dans les eaux.

  26. @ Aline et sophie-G

    Ceci peut vous intéresser : http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article329&decoupe_recherche=quiz

    @ VS12
    Je suis bluffé par votre vocabulaire et votre culture, vos arguments sont en béton.
    « Bouffon Hee! Vas-Y!! Hee Bouffon!! Bouffon Hee! Vas-Y!! Hee Bouffon!! Bouffon Hee! Vas-Y!! Hee Bouffon!! Bouffon Hee! Vas-Y!! Hee Bouffon!! Bouffon Hee! Vas-Y!! Hee Bouffon!!  »

    Je dois vraiment être très bête, car malgré votre érudition, vous ne m’avez pas convaincu.

  27. ME 51,

    Il faut préciser pour les dames qui nous font l’honneur d’être ce soir les hôtes de cette bande de sauvages, que le risque de mycotoxines est plus élevés dans les produits bio que dans les produits conventionnels, car elles sont produites par des champignons parasites qui sont mieux éliminés par les pesticides que par les pratiques bio, en l’occurennce pas grand chose.

  28. à propos du glyohosate précision de Robert Bellé dans le télégramme du 19 08 2008

    OGM. Les précisions
    du professeur Robert Belle
    Le professeur Robert Belle, de
    l’unité de recherche mer et santé
    de Roscoff, a souhaité apporter
    quelques précisions à fa suite
    de l’interview de Marie-Monique
    Robin parue hier dans nos
    colonnes.
    « L’article fait état de nos résultats
    concernant le Roundup.
    Ceux-ci sont effectivement difficiles
    à interpréter pour des non
    spécialistes. »
    « Ils mettent en évidence un risque
    mais en aucune façon une
    certitude. Il faudra beaucoup
    d’efforts scientifiques, épidémiologiques
    et probablement de biologie
    systémique pour arriver à
    cerner le « degré de certitude »
    en la matière. »
    « Les connaissances actuelles
    .des mécanismes biologiques de
    la cancérisation ne permettent
    pas de conclure que tel ou tel
    produit aboutira nécessairement
    à un cancer. Tant que les études
    n’auront pas établi de corrélation
    entre le Roundup et les cancers
    avérés, le produit doit être
    considéré « à risque » et non comme
    cancérigène « certain »».
    « Je souhaite, en tant que scientifique,
    que nos résultats ne
    soient pas interprétés au-delà de
    leur portée, en l’état des connaissances
    dans ce domaine ».

  29. @ Laurent Berthod

    Les quelques agris bios que je connais me disent qu’ils n’ont pas de problème de mycotoxines,que les analyses sont bonnes,etc!!!!
    Je ne les crois pas car d’une part les analyses ont un coup élevé,de 200à300€,d’autre un échantillonage représentatif étant impossible par l’extrème variabilité de résultat d’un même lot.

    Si je disais que l’agriculture conventionnelle n’en avait pas ou jamais,je mentirais.
    Des seuils existent,l’agro industrie les respecte et pour assurer un minimum,les agriculteurs utilisent des fongicides spécifiques contre ce champignon.En BIO,aucune application n’étant possible,c’est un peu comme la roulette russe à part si les conditions climatiques sont bonnes à la floraison et maturation,ce que personne ne contrôle.

    Sachant que les éventuelles mycotoxines se situent principalement sur l’enveloppe des grains(ainsi que les éventuels résidus fongiques),le seul moyen pour le consommateur d’être sûr de ne pas en ingèrer est de ne pas manger de pain complet surtout bio,riz complet bio etc ainsi que tous les produits bio artisanaux(jus de fruit,huile,conserves,etc) qui ne subissent aucuns contrôles sanitaires des servives vétérinaires et autres.

    Avez vous déjà fait la différence entre un tas de blè bio et non bio,suite à une floraison et maturation en condition humide?

  30. Monsieur Berthod vous dites: » Vu que c’est en France qu’on épand le plus de pesticides… »
    Il me semble (à confirmer) que cela représente environ 80 000 tonnes, que deviennent tous ces tonnages répandus dans la nature?
    Si l’on extrapole au monde entier cela représente plusieurs centaines de milliers de tonnes.
    Notre planète n’est-elle pas devenue une immense poubelle à pesticides?
    Pouvez-vous m’éclairer sur ce point particulier?

  31. Autre question Mr Berthod.
    Vous avez écrit : « …le risque de mycotoxines est plus élevés dans les produits bio que dans les produits conventionnels, car elles sont produites par des champignons parasites qui sont mieux éliminés par les pesticides que par les pratiques bio… »
    Aujourd’hui la consommation des produits bio est en hausse régulière et à ma connaissance, et peut etre je me trompe, il n’y a pas de cas avérés de problèmes de santé individuels ou collectifs répertoriés causés par les mycotoxines dans les produits bio.
    Si les produits bio sont dangereux pourquoi sont-ils autorisés à la vente?
    Pouvez-m’éclairer aussi sur ce point?

  32. @ aline et sophie

    vous souhaitez manger bio et vous en avez tout a fait le droit

    toutefois, une precision, bio ne veut pas dire absence de pesticides (traitement a base de cuivre, soufre, pyrethre …).

    Ensuite, comme il l’a été précisé, les plantes naturellement se defendent contre leurs agresseurs (champignons, insectes notamment) en secretant leurs propres toxines, c’est parfois celle-ci que l’on retouve dans les aliments, cretaines (myco) toxines sont d’ailleurs plus dangereuses que les residus de pesticides (parallele avec les DJA des m.a.).

    Manger bio pourquoi pas, manger local en s’approvisionnant chez un petit producteur me semble plus judicieux.

    Vouloir (ou devoir) s’approvisionner dans des grandes surfaces n’est en rien dangereux pour notre santé bien au contraire.

    Nous sommes dans une societe ou chacun veut faire du profit (firme phyto, distributeur mais aussi journaliste, garre aux marchands de peur qui ont su trouver un public et surtout des medias)

  33. « Notre planète n’est-elle pas devenue une immense poubelle à pesticides? »

    On a interdit les organochlorés parce qu’ils se dégradaient trop lentement dans la nature (ce qui est d’ailleurs une décision fort regrettable en ce qui concerne le DDT), on les a remplacés par les organophosphorés, qui sont rapidement biodégradables. Même mouvement vers les produits biodégradables pour les herbicides. En revanche les produits à base de cuivre, des vieux produits chimique de synthèse, de l’époque ou l’agrochimie n’était pas aussi avancée qu’aujourd’hui, autorisés et largement utilisés en agribio, parce que justement on n’a pas le droit d’en utiliser d’autres, empoisonnent littéralement les sols.

    Pour faire une comparaison imagée, notre planète n’est pas plus une poubelle à pesticides qu’elle n’est la poubelle de notre merde, car comme elle, ils sont biodégradables.

  34. Aline @71
    Un bon point de parler de produits phyto plutôt que de pesticides…
    Personne ne nie ici qu’auparavent des traitements ont été pratiqués sans plus de précautions et avec des produits « craignos », interdits depuis, et/ou améliorés quant aux doses d’utilisations, aux précautions d’emploi et grâce à des outils d’épandage + performants.
    L’évolution est telle que ces traitements sont de plus en plus afinnés par les techniques opératoires et les dosages/concentrations plus pointus. Leurs coûts est aussi un élément dissuasif…
    Le tonnage des produits n’est pas non plus très représentatif, entre un sac de bouillie bordelaise (sulfate de cuivre utilisé en bio) et un produit concentré en bidon…
    De même relativiser ces « gros chiffres », faite le rapport en Kg/ha, puis par m2, je ne m’y exerce pas, les surfaces cultivables (30 Millions d’ha) en France ne sont pas non plus égalitaires en matière de traitements.

    Pour votre post 85, lisez le lien de ME51
    http://biosol.free.fr/liens/myco_2004/les_effets.htm
    En bas de page les effets suspectés des mycotoxines sur l’homme § 2

  35. J’ai beaucoup d’inquiétudes concernant la santé humaine avec tous ces produits phyto qui sont finalement reconnus toxiques.

    ==> C’est sans doute parce que la bouffe et les conditions environnementales sont mises en danger par les produits phyto que l’espérance de vie s’est considérablement allongée et continue de s’allonger et que l’on vit beaucoup plus vieux en bien meilleure santé que nos prédécesseurs (même récents, quelques dizaines d’années) et ce y compris dans la plupart des pays!! Réfléchissez avant de colporter des poncifs éculés.

  36. @ l’autre pierre

    Merci d’avoir ressorti l’intervention de Bellé (je l’ai recherché mais n’ai pas pu remettre la main dessus rapidement). Bellé est un scientifique intelligent qui sait reconnaître ses limites et l’admettre publiquement (pas comme certains bornés truqueurs plus avides de notoriété médiatique que de rigueur scientifique du genre séralini et belpomme). Pas non plus comme certains je -ne- sais-rien- du- sujet-mais -çà-ne m’empêche-pas -d’en-causer-quand-même qui se répandent et pontifient ici.

  37. Manger bio pourquoi pas, manger local en s’approvisionnant chez un petit producteur me semble plus judicieux.

    ==> Encore faut-il s’a

  38. « Je suis bluffé par votre vocabulaire et votre culture, vos arguments sont en béton. »
    Merci Le paysan pour ce compliment qui me va droit au coeur!!!

    Pour vous convaincre de mon érudition lisez donc ci-dessous un article très intéressant sur les méthodes de Bayer pour imposer au USA un riz ogm qui résiste au glufosinate, et dont les producteurs de riz américains ne veulent pas.
    Malgré cela les bouffons de services vont encore clamé que les producteurs d’ogm sont des gens sérieux qui travaillent pour le bien de l’humanité.
    Les plantes résistantes au ogm vont se tordre de rire!!!

    http://www.hns-info.net/spip.php?article20945

    Riz GM : BAYER condamné à payer des dommages-intérêts
    Extrait:

    En 2006, le riz long OGM Liberty Link 601, qui résiste au glufosinate, un herbicide hautement toxique, était apparu sur le marché, bien qu’une autorisation d’exploitation n’ait encore été accordée nulle part dans le monde.

    La Cour fédérale de Saint Louis (Missouri) a accordé près de deux millions de dollars de dédommagement à deux agriculteurs dont la récolte de riz avait été contaminée par des variétés génétiquement modifiées de la société BAYER CropScience. Cette procédure est considérée comme un ballon d’essai par environ 3000 cultivateurs de riz des états du Missouri, Alabama, Arkansas, Texas et Mississipi qui ont été confronté au même problème.

    Selon Johnny Hunter, l’un des deux plaignants : « C’est un grand succès pour les agriculteurs américains, qui ont été les victimes de la contamination par Liberty Link. J’espère, que grâce à ce jugement la société BAYER sera contrainte de mettre fin à ses essais irresponsables ».

  39. @ le paysan

    L’affection psychologique dont semble atteint VS12 porte le nom de « palilalie ».

  40. Pour vous convaincre de mon érudition lisez donc ci-dessous un article très intéressant sur les méthodes de Bayer

    ==> Ainsi, selon vous pour faire apporter la preuve de son érudition, il suffirait de copier/coller un article pondu par d’autres???

    Doctus cum libro!!

  41. Zygomar,

    VS12 a dû consommer trop de produits conventionnels bourrés de pesticides et il s’est chopé une bonne petite Parkinson des familles.

    « Son » article sur Bayer ne prouve strictement rien. Les riziculteurs américains ne veulent pas de ce riz parce que l’UE ne l’a pas autorisé à l’importation, c’est tout.

  42. “Son” article sur Bayer ne prouve strictement rien. Les riziculteurs américains ne veulent pas de ce riz parce que l’UE ne l’a pas autorisé à l’importation, c’est tout.

    ==> Tout à fait mais çà c’est le genre de raisonnement pratique qui dépasse largement ses capacités intellectuelles……

  43. Les riziculteurs américains ne veulent pas de ce riz parce que l’UE ne l’a pas autorisé à l’importation, c’est tout.

    ==> Addendum: C’est également le genre d’argument auquel son antipesticisme primaire le rend totalement hermétique…

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