Claude Bureaux, maître jardinier de France au Jardin des Plantes de Paris, est-il victime de son incompétence ou de son militantisme anti-produits phytosanitaires ? Nous penchons pour la deuxième possibilité.
En effet, selon lui, « l’INRA, (la recherche agricole) et les fédérations régionales de lutte contre les organismes nuisibles n’ont pas encore trouvé de traitement efficace pour lutter contre le dépérissement des buis. »
Aussi sur le site de France Info conseille-t-il à Annie, de Montfavet dans le Vaucluse, qui lui a fait parvenir « de désolantes photos de ses buis », « l’arrachage et la destruction des pieds entièrement dégradés », « en espérant la découverte, bientôt, de moyens de lutte efficaces » ose-t-il ajouter.
Mark Jones, le premier producteur français de buis, qui travaille avec les agronomes du ministère de l’Agriculture sur différents projets collaboratifs, juge lui que, lorsque ce traitement biologique est insuffisant, il peut et il doit y avoir recours à un insecticide chimique. « Il en existe un respectueux des (insectes) auxiliaires (des cultures). Il s’agit du diflubenzuron », recommande Mark Jones dans les colonnes du Figaro.
Ce n’est sans doute même pas une option pour Claude Bureaux, lui qui appelle en fin d’article les internautes à « (déstocker leurs) pesticides » : « ce week-end, débarrassez-vous des pesticides indésirables et inaptes à être remis en déchetterie ». Tant pis pour les buis de Annie et des autres Français, victimes des champignons agresseurs et des pyrales !
je vais être méchant.
le délire actuel, que ce soit le bio ou daesh est dû a des urbains qui se sont déconnecté de la culture fermière ou religieuse de leur parents et se sont radicalisé au contact de groupe idéologique délirants, conspirationistes, apocalytiques, sectaires, utopistes suicidaires, dotés d’une idéologie extrèmement cohérente mais non basé sur l’idéologie (science, religion) dont ils se réclament à grand cri.
fin de l’intro.
dans ce contexte, la mort des agriculteurs , des céréaliers, des cerisiers, ON S’EN FOUT. les urbains en sont déconnectés et n’y comprennent plus rien.
par contre si vous ravagez leurs parcs esthétiques, si les rues sont envahies de mauvaise herbes qui traversent le goudron et le béton des poteaux à paris, là ou les seigneurs de la républiques et leurs valets grassement payés circulent, là ca va pester…
Tout ce délire n’est que religieux.
Je l’ai compris en comparant les dessins animés Francais et Indonésiens, quand aux propagandes destinées aux enfants de 3-8ans.
derrière tout ca il y a des marchands du Temple qui se gavent…
Ils finiront par mettre de l’herbe synthétique dans les villes et sur les ronds points car ils commencent à réaliser qu’avec le bio c’est bien moche. En plus les jardiniers fonctionnaires ne sont pas du genre à avoir mal à dos en passant leur temps à biner. Avec le synthètique ils gardent leurs salaires de fonctionnaires sans se fatiguer. Elle n’est pas belle la vie?
C’est aussi le discours de Alain Balaton, chef jardinier à Versaille.
Je rectifie : Alain Baraton
SuccessionMamie11xalis dans son potagerMême scénario samedi dernier sur France bleue Normandie ou le matin un Jardiner Mr Gérard Farcy répond aux questions d’auditeurs. En l’occurrence une auditrice qui ne parvenait pas à se défaire d’Oxalis dans son potager.
Depuis des années dans cette émission c’est l’OMERTA SUR LE DESHERBAGE CHIMIQUE.
Réponse de l’animateur : l’huile de coude.
L’éventualité d’un herbicide n’a même pas été évoquée.
J’en suis resté sur le cul ! La brave dame qui n’a peut être plus 20 ans va pouvoir s’éreinter à la binette.
Certes l’oxalis est une mauvaise herbe à détruire et la réponse n’est pas simple.
Mais ce qui est le plus insupportable c’est ce sentiment d’interdit, de bannissement qui lorsqu’il est transgressé vous conduit droit au bûcher !
Enfin, la dernière phrase de ce Monsieur Farcy évoquent quand même les désherbants mais « à ne pas utiliser car ils vont contaminer vos légumes ».
Pauvre Dame qui s’en est repartie toute penaude, sait-elle au moins que ses produits ménagers qu’elle utilise à pleine dose et sans gants sont des milliers de fois plus toxiques que les quelques ppm de résidus d’herbicides qu’elle pourra éventuellement retrouver dans ses légumes !