Le chiffre est élevé mais n’étonne pas quand on sait que la mortalité par suicide chez les agriculteurs est 20% à 30% plus élevée que dans la population française (près d’un suicide tous les deux jours) : le dispositif Agri’écoute mis en place en 2014 (tél. : 09 69 39 29 19, 7j/7, 24h/24) enregistre en moyenne 600 appels par mois. Des psychologues cliniciens sont même venus renforcer les équipes en place. L’objectif est de réduire le nombre de suicides, environ 600 par an. La Mutualité sociale agricole (MSA) a, dans ce but, implanté auprès de ses caisses locales des cellules pluri-disciplinaires de prévention. La responsabilité des marchands de peur professionnels dans ces drames humains n’étant plus à démontrer, la lutte contre les fake news colportées par les écolos complotistes et les ONG militantes pourrait être un second axe, plus en amont.
A l’inverse, rappelons que les agriculteurs sont moins touchés par les cancers que le reste de la population.
Il y a aussi beaucoup plus de sucides chez les femmes ouvrières et chez les professionnels de la santé. Est ce que c’est aussi la faute des écolos ou il n’y a pas de rapport ?? La dépression et la solitude n’ayant rien a voir dans les causes de suicide bien sur…
Dans la police le taux de suicide est presque le double et dans la santé presque le triple. Pour les agriculteurs il faut comprendre les causes de l’augmentation du taux (zones élevage en particulier).avec la paperasserie,les dettes,les pertes de liberté,l’atteinte à la propriété, le manque de perspective,le déclin de la France,la préférence étrangère ,le désert rural etc…le moral en prend un coup.
Le taux de suicide n est pas un indicateur suffisant : En effet il est plus facile de réussir son suicide quand on a ce qu’ il faut a portée de main ( fusil de chasse , arme de service ou pharmacopée dispo). La volonté de suicide est peut-être aussi importante dans toute la population mais certains y arrive mieux que d autres.
Il est donc hasardeux d’en tirer des conclusions hâtives et non étayées.
Vous donnez un argument aux politiques qui veulent désarmer les bons citoyens car ils commencent à avoir peur que le peuple (lèpre nauséabonde pour macron) ne retournent les armes contre les traîtres et collabos de certaines puissances étrangères qui veulent nous asservir.
Gros delire de Visor , encore ! Et hors sujet.
L’avenir dira qui raison mais vous devriez écouter les Attali,Soros,Minc et surtout lire les sites mondialistes .ces gens ne sont pas idiots et pour eux la plus grande menace c’est le peuple.pourquoi donc qualifier le peuple de lèpre etdefacho si ils n’ont pas peur?
plusieurs suicides d’agri autour de moi , sur plusieurs années bien sur . Il se trouve que ce n’est jamais dans ces cas que je connais , pour des raisons économiques . Mais ce n’est en rien une verité , je connais aussi plusieurs tentatives et c’etait bien pour des raisons economique ! Notre societé devient violente et ce dans tous les sens , l’action actuelle des vegans , la sur-administration , l’impression que le pouvoir du chef d’entreprise agricole disparaît pour etre un pion de l’administration , aucun respect de la proprieté privée et de son outil , le sentiment d’être incompris et mal aimé et même l’ine de nos liberté , la chasse , remis en cause par les gens des villes ! il serait bon d’apaiser l’ambiance car cette violence es demesurée envers une profession qui a toujours respectée l’environnement , les animaux et a reussit beaucoup de chose dans le défit de nourrir ses concitoyens ! Franchement les paysans de franc ne meritent pas d’être traitée de cette façon ! certain d’entre-eux n’ont plus la force de subir un tel outrage moral et très injuste !
Pour compléter, dans les cas que je connais ( mais ce n’est bien sûr pas représentatif) ce sont des personnes condamnées par la maladie à très court terme ( cancers en phase terminale) qui se sont suicidées. Les agriculteurs sont habitués à côtoyer et à accepter la mort dès le jeune âge ( avec les animaux) et peut être que , disposant de fusils de chasse, ils passent plus facilement à l’acte alors qu’en villes les gens finissent , plus ou moins euthanasiés, dans des centres de soins palliatifs. Une analyse des données brutes permettrait de mieux cerner les phénomènes.