« Portables, le flop scientifique »

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telexC’est le titre d’un article publié dans le dernier numéro de l’Express. A l’approche de la fin de l’année, l’hebdomadaire lève le voile sur les dernières révélations de 2008. Parmi elle, la fameuse (ou plutôt fumeuse) « étude scientifique internationale la plus attendue de 2008 » pour reprendre les mots de la rédaction. « Après trois ans de reports successifs, les citoyens du monde allaient enfin savoir si, oui ou non, ils couraient le risque de développer un cancer en utilisant trop souvent leur portable. (…) Las ! Les mois ont passé, les chercheurs ont continué à s’écharper sur les conclusions à tirer de leurs statistiques, et aucun avis global n’a été rendu. »
Si la France, par l’intermédiaire du Pr. Belpomme s’est prononcé, ce n’est pas le cas de tout le monde. L’Express conclut avec le sourire : « si le risque de cancer n’est pas avéré avec l’étude Interphone, le mal de crâne, lui, est garanti. »

Tout est dit !

2 commentaires sur “« Portables, le flop scientifique »

  1. « Si la France, par l’intermédiaire du Pr. Belpomme s’est prononcé,  »

    Ah! Alors, si Belpomme s’est prononcé, y plus grand chose à ajouter.
    La cause est entendue.

  2. Bonjour à tous.

    « Portables, le flop scientifique « .
    Veuillez m’excusez, mais je trouve ce titre mal choisi.
    En effet, les différentes études scientifiques (quand elles ne sont pas falsifiées par des gens pro-écolo : http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=86004) ne montrent aucun lien entre téléphones portables, ondes wifi, antennes relais et cancer (où toutes autres maladies).

    Il ne s’agit donc pas d’un flop scientifique, bien au contraire. Mais plutôt d’un vrai flop écolo. Et les médias (très emprunts de cette pensée unique) ne relaient pas l’information.

    En outre, il faut rappeler qu’une partie de cette étude consistait en une compilation des études antérieures dont celles avec des données trafiquées; qu’il a fallut sortir du lot.

    Enfin, il serait bien de donner des cours de statistiques aux journalistes »:
    « L’Express conclut avec le sourire : « si le risque de cancer n’est pas avéré avec l’étude Interphone […]». En statistique, il est impossible de certifiée une hypothèse. On ne peut que rejeter l’hypothèse inverse. Et rien de plus.

    Bien cordialement à tous.

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